Les Pastorales
A ta grande ombre, Virgile, je dédie ces chants d'un pâtre et d'un laboureur.
M. D.
Paris, Sansot, 1908
J'ai découvert enfin qui je suis
Je frotterai mon corps d'une huile aromatique
En la mousse dessous les chênes
C'est l'azur couronné de clarté
Le ciel est de cristal de roche