Marie Dauguet

RECUEIL: Les Pastorales, 1908

 Les Pastorales

 

A ta grande ombre, Virgile, je dédie ces chants d'un pâtre et d'un laboureur.

 

M. D.

 

Paris, Sansot, 1908


J'ai découvert enfin qui je suis

Je te salue ô Feu

Je frotterai mon corps d'une huile aromatique

Je suis l'aire sonore

Les Chansons

Mes boeufs tristes

La prairie permanente

Le seuil de la grange

Le verger

En la mousse dessous les chênes

Pâques

Je me suis recueillie

C'est l'azur couronné de clarté

Les pleurs de la vigne

Le printemps mystique

Le printemps des bergers

Les orges

Le parfum des tilleuls

La mare

Les purins noirs

Les seigles

Minuit

Le ciel est de cristal de roche

Les sainfoins

Sous les feuillages moites et sombres

La vieille église

L'inoubliable amant

Viens

Le taureau

La Moisson 1

La moisson 2

La moisson 3

La Moisson 4

La Moisson 5

Je serai comme Orphée

Bonheur

Prière

La lune au langoureux visage

L'ombre d'argent

Sous le pin musical

O vents harmonieux

Bucolique

Musique

Réveil

La source

Le Bac

Le moulin

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